Vivre

Par Verbo
Vivre, c’est aller de l’avant poussé par chaque heure qui passe, et dont la malice d’un vent derrière soi sans cesse efface jusqu’à la plus petite trace, comme dans du sable (...)

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Soudain, tournant la clé

Par Verbo
Soudain, tournant la clé, la porte grinça, couina, s’entrebâilla lentement sur la face morte d’un spectre mangé d’un ténia et hanté d’une noria de vers en funèbre (...)

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La course contre la montre

Par Verbo
L’heure avait recensé ses morts, froide comptable de leurs âges : vieux, faibles, malgré leurs efforts qu’elle entraînait dans ses rouages, irrémédiablement broyé ce qui venait à (...)

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La corrida

Par Verbo
N’avez-vous jamais vu tué un taureau d’un coup à la tête ? un monstre, une féroce bête, du brutal lourd qui s’est rué quand une cape a remué ses deux tonnes que rien (...)

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Le charançon

Par Verbo
Beaucoup de vent bruyant qu’on brasse n’est que d’un moulin sa chanson. quand j’aperçois un charançon, me fait penser sa carapace à la redoutable cuirasse d’un rude troupier (...)

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Lâche et veule

Par Verbo
Dans une rue un chat qui feule, sortant ses griffes et montrant les crocs acérés de sa gueule, sait qu’on ne donne, mais se prend la liberté qu’avec son cran, sa force et sa volonté (...)

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Lâche et veule

Par Verbo
Dans une rue un chat qui feule, sortant ses griffes et montrant les crocs acéré de sa gueule, sait qu’on ne donne, mais se prend la liberté qu’avec son cran, sa force et sa volonté (...)

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La vie à petit feu

Par Verbo
La vie à petit feu nous tue quand né d’un jour, on a vieilli ; on se dit qu’elle s’est foutue de nous, aussi mal accueilli. et quand les ans ont bien bouilli la viande qui nous (...)

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L’homme est un loup

Par Verbo
L’homme a colonisé la terre, gagnant partout sur l’animal, fit son tapis de la panthère et sa monture du cheval. s’il fut un loup en général, pire que son chien, son (...)

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L'argent

Par Verbo
On n’en a pas, on le désire, on en est sans cesse indigent, qui manque et ne saurait suffire comme une drogue aux pauvres gens, malgré qu’il faudrait le maudire d’en avoir un besoin (...)

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L’âne de platon

Par Verbo
Un grand âne, à qui voulait l’entendre et voulait parier un écu, d’un aïeul se prétendait descendre, sur son dos où platon mit son cul. se disait, plein d’orgueil à revendre, un (...)

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L’âge de la terre

Par Verbo
Peu nous chaut l’âge de la terre qu’on connaît depuis très-longtemps. pourtant du sien on voit se taire la femme de plus de vingt ans : celui-ci ne saurait lui plaire passant qui la (...)

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Il était une fois un conte

Par Verbo
Il était une fois un conte qui commençait toujours ainsi ; je ne sais à quand ça remonte, mais il est bien connu d’ici, tombé de rideau réussi avec le méchant mort de honte, saluant (...)

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Fin d'été

Par Verbo
Un ciel de traîne qui moutonne... au soleil, l’orage a suivi, avec du vent plus qu’on n’en vit dans la coiffe d’une bretonne ; dans le gris tout se capitonne, en tons plus pâles à (...)

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Dans tout ce qu’on se (...)

Par Verbo
La dernière chose à croire, qu’on écoute avec plaisir, c’est bien cette belle histoire juste faite pour mentir. on la garde en souvenir au profond de sa mémoire, comme un pauvre aime (...)

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À l’est, rien de nouveau

Par Verbo
Quand au printemps ragaillardi l’eau renaît de la neige en fonte, il n’est rien dans ce qu’on raconte qui ne fut cent fois déjà dit. point de propos qu’on n’entendît répété (...)

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Les temps nouveaux

Par Verbo
D’abord, c’était que la nature : des rochers, du sable et de l’eau, tout tranquille et faits sur mesure, le ciel bleu et le soleil beau. comme pour gâcher le tableau et le couvrir de (...)

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La fête des voisins

Par Verbo
C’est à la fête des voisins qu’on apprend à mieux les connaître, eux plus proches que nos cousins, qu’on aperçoit par la fenêtre ; et avec le regret de nêtre comme entre vieux (...)

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Un beau petit muguet

Par Verbo
Fringant dans son bel habit vert, partout qu’il montre et qu’on admire, en ce seul jour, il s’est offert de s’exhiber pour nous séduire. cette vanité va lui nuire, car c’est juste (...)

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Merveilleux malheur

Par vince
Elle m’a ouvert le cœur. j’ai fait battre le sien. elle m’a donné la force. je lui ai tendu les mains. j'ai eu le bonheur, de partager le sien. je lui ai fermé les yeux. elle ne (...)

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Le serpent

Par Verbo
Sous une pierre, sa cachette, s'échappant, j'aperçus, me sifflant la bête au tympan, la sinueuse silhouette d'un serpent. sournois, son venin qui sécrète en rampant, le mal est là (...)

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Le serpent

Par Verbo
Sous une pierre, sa cachette, s'échappant, j'aperçus, me sifflant la bête au tympan, la sinueuse silhouette d'un serpent. sournois, son venin qui sécrète en rampant, le mal est là, (...)

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Le coeur tout petit

Par Verbo
Tel un nid plein de ses petits débordant de ce qu'il n'avorte, mon coeur encombré s'est senti obligé de fermer sa porte. s'il faut trouver à l'orphelin ou au sans-abri de la place, le (...)

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Le rêve interrompu

Par Verbo
Je voudrais explorer des voies où jamais le poète on ne vit mettre un pas, mais tu bâilles, ma muse, à ton lit qui déploies ton échine aux divins appâts, sous l'édredon des plumes (...)

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Monsieur l'hiver

Par Verbo
La neige, qui pend au rameau, brille à sa pupille éblouie ; s'est tu le chant de l'étourneau, hier agréable à l'ouïe : soufflant entre ses mains, sa peau comme de la glace et (...)

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Bonne année 2017

Par Verbo
Si cahoteuse soit la route, bien malgré vous, que vous suiviez, vous y rencontrerez, sans doute, décembre qui va voir janvier : tous les sentiers menant à rome, vous le verrez sur le (...)

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Fais ce que tu peux

Par Verbo
Fais ce que tu peux. en quelques mots, j'obtiens la misère de l'homme qui, ne voulant rien faire, m'en réserve un peu. on se limite, on se rapetisse au niveau du nain, de la souris qui fit sa (...)

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Fais ce que tu peux

Par Verbo
Fais ce que tu peux. en quelques mots, j'obtiens la misère de l'homme qui, ne voulant rien faire, m'en réserve un peu. on se limite, on se rapetisse au niveau du nain, de la souris qui fit sa (...)

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Fais ce que tu peux

Par Verbo
Fais ce que tu peux. en quelques mots, j'obtiens la misère de l'homme qui, ne voulant rien faire, m'en réserve un peu. on se limite, on se rapetisse au niveau du nain, de la souris qui fit sa (...)

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Fais ce que tu peux

Par Verbo
Fais ce que tu peux. en quelques mots, j'obtiens la misère de l'homme qui, ne voulant rien faire, m'en réserve un peu. on se limite, on se rapetisse au niveau du nain, de la souris qui fit sa (...)

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Pourquoi l'alexandrin ?

Par Verbo
Pourquoi l'alexandrin ? me demandera-t-on. on sait d'autres façons d'habiller une histoire. le métier n'est pas riche et peu sûr l'auditoire, et courir le cachet pour moins qu'un (...)

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Comme une nef au ventre lourd

Par Verbo
Comme une nef au ventre lourd, sillonnant, s'épuisant dans sa folle entreprise, contre la vague qui, dans un grondement sourd, voit son bel élan qui se brise comme sur un cheval de (...)

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Comme on voit, pesamment, (...)

Par Verbo
Comme on voit, pesamment, l'épi courber la tête sur sa tige harassée, et malgré tout le soin qu'elle eut à le porter, maintenant qui s'inquiète, À tort ou à raison, de voir faucher le foin (...)

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La france n'est plus ce (...)

Par Verbo
Entre la mer, suisse et piémontais, et l'allemagne, espagne et belgique, la france craque entre ses étais, dans son corset, serré, archaïque. le bal musette, aujourd'hui, se tait, d'hier (...)

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Meurt l'année

Par Verbo
Meurt l'année avec l'éphéméride... le présent est déjà du passé qui lui creuse encore plus sa ride ; lui, n'en semble avoir jamais assez. le temps passe, amputé feuille à (...)

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Chat de gouttière

Par Verbo
Au diable ! fi ! du lèche-botte, du flagorneur, de l'épagneul, que l'on ne peut pas laisser seul aller faire au dehors sa crotte. je lui préfère un chat qui trotte un peu partout ; qui (...)

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L'arbre de jessé

Par Verbo
La vieille souche a pris racine ; un nouveau surgeon s'est dressé : d'une pure essence divine, s'est hissé l'arbre de jessé. la rose pousse de l'épine, son bois d'une main caressé (...)

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Comment faire un alexandrin ?

Par Verbo
Comment pourrait écrire une main maladroite d'une plume usagée, en son métal gâté par la rouille des ans, à l'oubli dans sa boîte, soudain qu'on veut à l'oeuvre et sans faire un (...)

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La mouche sur le nez

Par Verbo
La mouche, quand on dort, vient pour nous déranger : on ne demande rien, mais elle fait sa tâche À choisir notre nez pour nous le démanger... pourquoi, diable, faut-il que la vie on nous (...)

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Sur les rives du parnasse

Par Verbo
Comme ulysse accueilli d'une nausicaa, me prit la poésie en sa douçâtre nasse... harassé de fatigue, allant cahin-caha sur le chemin qui mène aux abords du parnasse, j'entendis des (...)

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L'histoire de france, apprise (...)

Par Verbo
Il s'en allait, sans crainte pour se battre, bardé de foi, d'ardeur et de métal, contre le mal, pour le couper en quatre, louant son dieu et flattant son cheval. c'était au temps où l'on (...)

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Marchons! marchons!...

Par Verbo
Nous voulûmes la paix, et ils auront la guerre... ils nous verront nous battre ainsi que des lions, en leur montrant nos dents et ce qu'est la colère, qui fera voir trembler et fuir ces (...)

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L'ultime courage

Par Verbo
Quand l'ombre aura jeté son voile sur une dernière lueur de conscience, notre moelle délaissée au chien aboyeur ; quand la nuit n'aura plus d'étoile pour éclairer son voyageur, qu'il ne (...)

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Peut-on juger ses parents ?

Par Verbo
Ils auront fait ce qu'ils auront pu, de leur meilleur pour cacher le pire. peut-on blâmer ? pourquoi les maudire, l'enchantement maintenant rompu, léchant sa plaie, abcédant son pus (...)

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De seconde en seconde...

Par Verbo
je viens d'autrefois, souviens-toi, je suis maintenant la seconde, et tu me verras après moi ; la mort aussitôt me féconde. je ne suis jamais sans emploi... ainsi, plus je vais, plus (...)

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L'ange à la mer

Par Verbo
L'angelot, promenant son pas, s'agenouilla, plia son aile, prit un peu de sable, une pelle, fit un château, que l'eau trempa. il s'éloigna, le rattrapa la mer, jouant - je m'en rappelle (...)

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Saint-raphaël

Par Verbo
La cherchez-vous sur une carte? plus grande à peine que fréjus que l'on dirait un trou d'anus, où posa son blues bonaparte, pour son elbe avant qu'il ne parte. penchez-vous encore un peu (...)

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Vois en moi (adaptation libre (...)

Par Verbo
Vois en moi ce moment de saison qui jaunit, puis fait tomber la feuille; la chapelle, où dit son oraison l'oiseau-chantre, et que la ruine endeuille. vois en moi, dans le jour qui (...)

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Le banc de la liberté

Par Verbo
sur un banc, je me suis assis avec mon âge et ma fatigue : on eut pu voir, heureux ici, deux souliers las avec mézigue. débarrassé de ses soucis, l'esprit put y danser la gigue, entre (...)

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La ruelle

Par anne-marie dutilh
En partant de la rue saint-pierre pour rejoindre la place du capitole se faufile une ruelle une ruelle discrète une ruelle différente [...] une ruelle aimée et aimante [...] elle passe (...)

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Goutte a goutte

Par anne-marie dutilh
À goutter goutte à goutte l’amer et le doux le clair et l’obscur l’existence s’effiloche inexorablement avant semelle de passade en passade son déjà À la semelle (...)

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Vous Êtes venue madame

Par anne-marie dutilh
vous êtes venue madame simplement simple simplement vraie simplement éblouissante de lumière de cette lumière que l'on met en gerbe pour les jours sombres à venir trop tôt de (...)

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Badinerie

Par anne-marie dutilh
  vie Ô lente seras-tu si la vie orne ses tains ! terre mauve au ciel est sienne ! pré vert en soliste badine avec les beaux de l'air... au rameau bénit du buis les rares (...)

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Gris-bleu

Par anne-marie dutilh
Gris-bleu partir. partir sans se retourner. sans se retourner, pour ne pas savoir les regrets. partir. partir et laisser derrière les rires et le gris-bleu des souvenirs. prendre le (...)

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"la lyre"

Par Marie-Céline
Si tu veux me lire il faut me le dire je te laisserai me lire, lire. si tu veux la lyre, il faut ouvrir le livre, et lire, lire. si tu veux pâlir, frémir, rougir, entre dans le livre, au (...)

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Rouge et pourpre

Par arielle
Une amie m’a dit ce matin qu’à pleuvoir à ce train les feuilles rouillent un brin une feuille a susurré en douce « c’est l’époque des citrouilles vois comme je me débrouille (...)

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Prisme

Par Sylvain_Pierre
Se perdre dans l’esprit la psyché débridée la beauté de la couleur se détourne en noir et blanc saisir la fragilité et se fondre dans la source de l’espace

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Onctueuse caresse

Par Sylvain_Pierre
Ton souffle si doux se profile dans mon cou toujours je vais me rappeler comment l’oublier ? un moment si tendre que je voudrais éternellement reprendre ton sourire que je veux (...)

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Aube

Par jazzyjazz
Brume de l'aube, sur soie menthol, aux parfums que la nuit, a déposée. tes yeux s'ouvrent, la mer s'éveille, ton corps s’étire, le soleil éclair, doux baisé, paysage fortune, (...)

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La plume

Par jazzyjazz
La plume au crépuscule prend allure de flamme, elle embrase l’arbre mis à nu de mots en décoctions, le temps d’une impartie pour dire tout haut, les maux souvent murmurés par des (...)

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Oeufs de pâques (marcel (...)

Par Les bancs de la Liberté
Voici venir pâques fleuries, et devant les confiseries les petits vagabonds s'arrêtent, envieux. ils lèchent leurs lèvres de rose tout en contemplant quelque chose qui met de la flamme à (...)

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Ok d’ac

Par arielle
Lorsque j’étais jeune écolière et qu’avec foi on m’enseignait les riches vertus du français en disant d’ac, j’approuvais on ne mélangeait pas les sujets ! il y avait les cours (...)

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Parachute

Par Sylvain_Pierre
Ta présence se répercute à travers mon corps dans mes pensées maintenant toutes remuées je suis perdu confondu happé par un système en moi-même comment garder le fort ? comment (...)

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Palingénésie

Par Sylvain_Pierre
Le souffle de la plume sort de son lit c’est le réveil des instincts les ornements ne cessent de se libérer impulsifs bruyants (...)

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Mon prof de latin

Par arielle
Alors comment ça bûche monsieur stabusch ? j’aimais bien vos trucs j’adorais vos astuces pour sublimer nos études nous n’étions pas des anges vous ne tapiez pas nos phalanges mais (...)

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Ombre et lumière

Par Sylvain_Pierre
Par les routes traversées ma mémoire se perd dans les plis et replis du temps mes pas me guident ailleurs à travers l’ombre et la lumière loin trop loin pour me souvenir trop loin pour (...)

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Ineffable moment

Par Sylvain_Pierre
Le temps s'évaporise la lumière éclate sa splendeur limpide ton sourire s'abandonne à l'infini dans ce magique univers délicieusement mon regard s'oublie

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Doux moments

Par Sylvain_Pierre
Depuis des heures je te souris dans le silence de la nuit ta douceur infinie ton expression épanouie jamais sur ton visage une pâleur toujours ton sommeil qui se poursuit

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Deux mille treize

Par arielle
Florilège de doux rêves nectar sous la treille apprécier merveilles eveil danser la javanaise la musique apaise chanter en dièse noblesse sorbets à la fraise délices à la (...)

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Vague espace

Par Sylvain_Pierre
Un flou dans le geste comme une perte de repères à l’intérieur de soi un appel au loin un espoir imaginé un horizon qui s’étend vers l’éternité une langueur de l’infini un (...)

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Partition

Par Sylvain_Pierre
J’aime la lumière la brunante sur les immeubles au loin la brise diminue file le temps je suis en mouvement contre l’immobile ce sentiment ambiant pourchasse l’espace ne pas (...)

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Sans titre

Par Sylvain_Pierre
Les fonds de brume s'étendent à l'infini l'éternité se la joue sérieuse avec des airs de fin du monde autour de l'horizon une silhouette s'échine errer à l'aveugle se chercher un (...)

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Angel

Par jazzyjazz
Angel l'instant amène la providence à l'esprit qui demande, sur la paille de l'enfant né d'âge de réflexion, vers le fleuve espérance des astres. la brise arrime le baisé, de la (...)

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Par jazzyjazz
Encore sept levés, encore six couchés, encore dans le souhait d’y être, encore dans la sonorité quotidienne, encore dans la mesure, encore dans la colorimétrie, encore dans (...)

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Mariage

Par Marie-Céline
Mariage nous nous rencontrerons au mariage d’une amie commune ensemble nous boirons sous les hospices de la lune puis nous discuterons de politique et de réforme et nous apercevrons la vie (...)

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50 musiciens

Par Marie-Céline
Cinquante musiciens cinquante musiciens dans la salle des décors accordent leurs violons pour entonner ensemble un chant d’armor cinquante musiciens dans la salle des décors se (...)

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Un amour insensé

Par Marie-Céline
Un amour insensé elle rêvait d’un amour insensé… il est venu ! il a débarqué dans sa vie, cet amour sans abri… elle l’a pris dans ses bras, elle l’a bercé, il a couru partout ! (...)

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L'édredon en poil d'enfer

Par Marie-Céline
« l’édredon en poil d’enfer » c’était un édredon en poil d’enfer mais il fallait bien s’y faire qu’il fut sur le lit ou par terre il y avait sous les draps lucifer. c’était (...)

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Farniente

Par Sylvain_Pierre
Calé en contrebas je me chavire du vent qui se froisse avec les nuages planant là-haut les sons désarticulés s’enchevêtrent harmonieuse dissonance patiente coule la vie au gré (...)

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Mon père

Par Marie-Céline
Parfois j’imagine le contraire : que c’est toi, mon père, qui es toujours vivant : tu m’observes en silence et tu lis ce que je pense. si je vis c’est que tu le veux je ferai tout (...)

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Poèmes pour piéco

Par Marie-Céline
poèmes de marie-céline a la mémoire de « piéco » (mon époux) * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * (...)

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Voyage au centre de (...)

Par arielle
Ne surtout pas chercher à se contrôler se laisser aller au gré de la stratosphère chaque seconde est une sonde, la fusée c’est lui, un héros, un extraterrestre (...)

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Le charmeur de ces dames

Par arielle
Aux alentours de tourtour chante encore un troubadour. dès la naissance du jour, on le trouve allant de cour en cour fredonnant l’amour parfois une rose à la main, reçue en (...)

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Passage

Par Rom24
que me voulez-vous ? pourquoi me dévisagez-vous ? je ne suis pas le monstre de vos contes de fées. j’essaie seulement d’être moi-même. etre cet homme au bout du chemin, qui, par un (...)

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Comment te dire.

Par jazzyjazz
Ici, loin, là bas, prêt, août en juin, ras de marée. sur la coque, pied à terre, notre époque, je solitaire. fumoir en scie, boudoir en noir, femme au lit, saoul (...)

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Loingtain horizon

Par jazzyjazz
Dis moy esprit qui te fait voyager, qu’à mon coeur t’as fait chavirer ? qu’este donc à ta veue, ma demoiselle ta dépourvus? pour que toy, coeur honorable, aime sa maistresse (...)

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Mi-dit

Par Les maux de l'optimisme
L’homme qui survole conjugue le passé au jardin de glace. le rhinocéros pleure une larme volatile, je m’éteins d’agora temps de cendres. le présent dans l’anxiété à l’image (...)

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Penchant vertical

Par Les maux de l'optimisme
Le penchant vertical abîme poussiéreuse du verger naturel, les clés de voute, penchant et atmosphère. l’éteignoir à songes, cet opuscule: confier le mot, y déposer l’histoire. je (...)

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On ne guÉrit pas les plaies (...)

Par Grapho-Styl'
On ne guÉrit pas sans avoir bon diagnostic et les outils adéquats pour colmater les trous les plaies ouvertes et profondes ne se raccommodent pas avec un fil à couper le beurre ou en les (...)

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ConnaÎtre son ignorance est (...)

Par Grapho-Styl'
ConnaÎtre son ignorance, être capable de la cerner et en éprouver son importance est un savoir de plus pour chacun de se donner l’envie d’apprendre suivant ses préférences la meilleure (...)

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Libératrice finition

Par jazzyjazz
Tant de poussière, en accotement de mon cœur, déchirement de la soie, adipeuse traversée, la noyade de mes lèvres, se font en hostie sur le sérail des limpides chimères, je trouve la (...)

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Séparation

Par jazzyjazz
les pas limpides théoriques fusionnant sur la blanche et réactualisée… par biais d’une entente féminine… révélation minimaliste… en début d’ère historique… entre cet et je… (...)

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étoile inconnue

Par jazzyjazz
Etoile inconnue de songe, que penser, houle arrimée, s’en aller bourgeonner ses cils, pétales éclos. mer, paysage méditerranéen, me faisant voyager aux palpitations des chants (...)

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" tu sais "

Par TONVOISIN
" tu sais" si tu peux la regarder partir et te taire. nul autre bruit, que ce silence qui te crève les yeux depuis le début du monde. si tu peux étouffer dans des mots, (...)

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En passant

Par TONVOISIN
En passant... par tonvoisin poème radical " quand j'aurai épuisé toutes mes raisons de vivre / quand tous mes mots hurlés demeureront sans voix / je m'en irai promener avec des marins ivres (...)

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ApprÉcie-toi d’abord et (...)

Par Grapho-Styl'
ApprÉcie-toi d’abord avec humilité et lucidité, rien ne dois te pousser à te rabaisser et apprÉcie ta vie telle qu’elle est sans amertume car elle a sûrement ses bons côtés aprÈs si tu (...)

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Virevolte

Par Michel Simur
L’errance dans toute son élégance, aux yeux du monde je me balance, l'errance dans toute sa décadence, un pantin sans fil prend sa chance,

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Retour sur le salon du Livre

Le 28.01.23

Retour sur le salon du livre 2019 en attendant la nouvelle Edition. En présence de (...)

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Le 17.04.21

Préparation en cours, évènement cimetière Arlington Washington Banc de la Liberté dédié (...)

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